La franc semblait désormais faire parade seule. Le bois des murs, patiné par les ères, conservait une tiédeur étrange, tels que s’il absorbait l’écho des présences diffusées. Les cartes oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait décoder. Chaque journée, elle observait de nouvelles harmonies se former : un pendule https://lauriana-voyance31739.thenerdsblog.com/40008801/les-minutes-suspendues