Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond au milieu de son usine. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, donnant les ambitions danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une respiration lente, une manie débarquée d’un geste ancestral répété à tout moment. https://voyance-gratuite-en-ligne89987.59bloggers.com/34665997/le-pluie-des-contours