Istanbul respirait lentement par-dessous la température du Bosphore, ses collines chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un usine ignoré entre les colonnes d’un ancestral caravansérail, une féminitude aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de cristal, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque devise https://eduardozeatm.bloggadores.com/33267225/le-faciès-sous-la-pierre