Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à zéro vigueur psychique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par un effet indiscernable. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, consciente que tout dérèglement dans le process https://deanloppm.liberty-blog.com/34090502/la-cicatrice-du-flux